Aujourd’hui, je voudrais parler d’un nouveau projet qui s’est développé par l’ONF, c’est celui d’établir une liste d’arbres, de les énumérer dans la forêt d’Alençon. Pour procéder à cela, ils comptent procéder à l’usage de la technologie LIDAR(Light detection and ranging) qui sera embarqué sur un drone. Mais avant d’aller plus loin, il faut d’abord savoir ce qu’est cette technologie LIDAR. C’est un système qui envoie des rayonnements sur des objets afin de les intégrer en 3D grâce à des valeurs altimétriques pprécises. Le but de la manœuvre est donc de les intégrer sous forme de vecteur dans un SIG afin de pouvoir analyser l’évolution du répertoire forestier de cette région. C’est dans ce type de cas où l’on peut constater de l’utilité des SIG où l’on peut établir depuis un simple ordinateur des zones de reboisements selon des critères établit en amont et y envoyer des gardes forestiers par la suite. Il est donc clairement établit qu’il est plus confortable d’utiliser des technologies où l’on peut y intégrer des SIG plutôt que d’y envoyer des forestiers qui auraient mis un temps extraordinaire à recenser des arbres. C’est la raison pour laquelle l’ONF, a préféré utiliser d’une technologie LIDAR afin d’établir ce recensement qui pourra ensuite être discuté par les forestiers qui vont sur le terrain et qui sont censés le connaître.
J’ai pu parler d’un cas pratique où la technologie LIDAR pouvait être intégrer à un SIG mais, cette technologie peut alimenter ces SIG dans plusieurs domaines professionnelles ou d’utilité publique, lorsqu’il faut établir des MNT(modelé numérique de terrain) afin d’y établir quelles seraient les zones les plus propices aux inondations par rapport à son altimétrie. Dans ce cas également, une technologie LIDAR montée sur drone peut s’avérer plus utile qu’une équipe de géomètre parcourant une zone afin d’obtenir un bon degré de précisions ou qu’une image satellite avec un degré de précision à 5m près.