La trame verte est un projet qui fût établit en 2010 lors de la mise en place de la loi Grenelle II. Cette loi relate principalement de l’engagement national pour l’environnement. Le projet « Trame Verte et Bleue » complète les décisions d’aménagement du territoire car il représente une politique intégrant la biodiversité dans ces décisions. Il a pour principal objectif, autour de ces décrets, la mise en bon état des continuités écologiques ainsi que la préservation ceux-ci.
De nombreux acteurs sont responsable de la mise en oeuvre de ce projet d’ordre national. La création du centre ressource de la trame verte et bleue peut être considéré comme une base de donnée ou y serait répertoriées de nombreuses structures indispensables à son évolution. De nombreuses collectivités sont déployées sur le projet, chacune ayant un rôle particulier. Nous pouvons prendre l’exemple notamment de l’Institut National de Recherche en Sciences et Technologies pour l’Environnement et l’Agriculture (Irstea), ou encore du Centre d’études et d’Expertise sur les Risques, l’Environnement, la Mobilité et l’Aménagement (Cerema). Chacun de ces acteurs agit sur des domaines de références différents. À savoir : Le pôle « ressources », le pôle « échanges » et le pôle « appui scientifique et technique ». Le centre ressource dépend des outils géomatique. En effet, la géomatique a un rôle important dans la diffusion en temps réel des informations, le retour d’expérience (valorisation et rassemblement des expériences, story map), ainsi que pour la mise à disposition des ressources techniques et scientifique (gestion de base de données). Le site propose une entrée géographique sous forme de leaflet via une Map data google. Les différents logiciels utilisés pour présenter le projet de la Trame Verte et Bleue sont : Qgis, BioDispersal, Graphab, et Circuitscape.
Source :
- Portail internet de la Trame Verte et Bleue
- Ministère de la Transition Écologique (MTE)
- Inventaire National du Patrimoine Naturel (INPN)
Ghalim Imen – M1 géomatique CYU