
Ce centre travaille sur deux axes principaux qui sont les suivants : les catastrophes naturelles ainsi que les conflits pouvant toucher les populations sujettes aux événements.
Il étudie les crises et urgences humanitaires qu’elles soient socio-économiques, sur les questions de genre ou encore environnementales dans un but d’éditer des rapports mais aussi d’aider les populations les plus vulnérables.
Par le biais d’une base de données ( la The Emergency Events Database – EM-DAT )
qui répertorie des données sur les catastrophes environnementales et technologiques depuis 1900 : elle permet ainsi la mise en évidence de phénomènes pour optimiser leurs travaux dans le cadre de prises de décision politiques par exemple mais aussi le conseil des individus face à des événements catastrophes.

Un projet autour de cette base de données datant de 1999 prévoit pour 2025 la consultation gratuite de celle-ci.
Source : https://www.cred.be/sites/default/files/EM-DAT.png
Le centre décline donc sous 2 catégories son plan d’action :
1/Le traitement des catastrophes naturelles
Cela grâce à une évaluation de la santé et l’impact humain sur des catastrophes ciblées en caractérisant le profil catastrophe des pays du monde sur des temps donnés par le biais de leurs liaisons avec leur consortiums collaboratif pour combler le manque de sensibilisation et discrétiser les données pour les vulgariser au grand public ou aux gouvernances. Cela étant jouxté par une analyse de la vulnérabilité et des politiques de préparations face aux désastres.
Comment ?
C’est avec l’appuie de technologies multiples que leurs travail est rendu possible. L’usage des données satellitaires ou encore du WebMapping pour pouvoir prendre partie dans le décisionnel appliquée à la gestion des risques dans toute sortes d’espace même jugé inaccessibles.
2/Le traitement des crises dû à des conflits
Via une seconde base de données figée sur les urgences civiles, les collaborateurs du centre répertorie la mortalité, les taux de malnutrition (etc…) des communautés touchées mais aussi des données issues d’enquêtes épidémiologiques aux conventions dites SMART (: Specific, Measurable, Achievable, Relevant, and Time-Bound studies) afin de fournir les conseils les plus pertinents et fixé les priorités d’action (financière et d’organisation humanitaire)
Par cela, le centre cartographie et modélise pour mettre en forme les données et les rendre exploitables.
Source :